Attendez-moi, je reviens !

Plus un mot depuis la mi-mai, c’est quoi ce travail ? Eh bien c’est ce qui arrive quand le peu d’énergie qui vous reste est pompé en flux tendu par des choses urgentissimes, depuis essayer de finir de terminer d’achever un chantier tentaculaire jusqu’à grapiller le repos que votre organisme se met à réclamer sous forme d’ultimatum, le tout dans un mois de juillet rempli de travail jusqu’à la gueule (l’agenda ne vous dit pas tout !) et hélas obscurci par plusieurs décès, dont celui d’un collègue très cher… Sur ce dernier point j’ai un courrier sur le feu, qui apparaîtra ici dès que j’aurai trouvé deux heures pour le terminer.


Bref, en dépit des apparences ce journal n’est pas à l’abandon ! Du neuf sous peu !